Travailler une cinquantaine d’heures par semaine ne rend certainement pas heureux. Pourtant, 10% des cadres français travailleraient plus de 49h par semaine selon Eurostat, ce qui fait de la France… la vice-championne d’Europe des “gros travailleurs” (derrière la Grèce). Mais est-ce que travailler plus, c’est travailler mieux ? Rien n’est moins sûr. Chez Pimpant, on a planché sur la question.
Un monde où les salarié(e)s se sentent libres. Libres de passer du temps en famille quand ils le souhaitent, de voir leurs enfants grandir — ou leurs parents vieillir. Libres de se découvrir une passion pour le chant, le mime, les claquettes — et d’y consacrer le temps qu’il faut. Libres de vouloir prendre des responsabilités au travail, ou de réduire la voilure. Chez Pimpant, on croit vraiment que les collaborateurs ont leur mot à dire sur leurs horaires, leur to-do… Ils sont le capitaine de leur navire. Et c’est bien la moindre des choses.
💡 Responsabiliser ses collaborateurs et les impliquer dans les processus de décision, c’est le meilleur moyen de les fidéliser ! Et on peut le comprendre : qu'y a-t-il de plus agréable et satisfaisant que de sentir que notre avis compte et que notre entreprise nous fait confiance ?
On peut changer le monde avec de bonnes intentions et de belles valeurs. C’est pourquoi, pour nous, l’entreprise du futur accorde une importance toute particulière au bien-être de ses salarié(e)s et à leur épanouissement, au partage de la valeur au sein de l’entreprise, à la cohésion d’équipe… Toutes ces choses qui sont, sans être révolutionnaires, absolument nécessaires à la pérennité d’une entreprise.
Accorder plus de temps libre en mettant en place la semaine de 4 jours payée 5, faciliter l’usage du télétravail afin d’améliorer l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle des équipes, proposer des salaires qui permettent à tous et toutes de vivre correctement (quelles que soient leurs qualifications)… Toutes ces petites choses permettent aux salariés de gagner en liberté, en autonomie, en confort… et en bien-être, du coup !
💡 À retenir
Les gros horaires ne sont pas sans conséquences sur la santé ! Selon l’INRS (l’Institut national de recherche et de sécurité), ces derniers peuvent causer des "troubles psychiques (dépression, anxiété, suicides…), des troubles du sommeil, des addictions, des anomalies lors de la grossesse et d’autres altérations de l’état de santé général". Bref, plus on tire sur la corde, et moins on se porte. Simple. Basique.
Être heureux au travail, ça demande de s’accomplir. Satisfaire sa curiosité intellectuelle, sortir de sa zone de confort en relevant des défis, développer de nouvelles compétences, sentir que ses missions quotidiennes ont un impact sur la réussite de l’entreprise ou sur les consommateurs finaux du produit ou du service… Toutes ces petites choses (qui ne sont pas si petites) permettent aux talents de donner du sens à leur travail. Une entreprise visionnaire a conscience qu’il est de sa responsabilité d’apporter du sens aux missions qu’elle confie à ses collaborateurs.
Qu’on se le dise : il est beaucoup plus simple et agréable d’adhérer à un projet auquel on croît — et qui est d’utilité publique. Et nous sommes certains d’une chose, chez Pimpant : seules les sociétés à l’impact positif sur le monde (à travers un engagement environnemental, social…) survivront à terme. Toutes les autres ? Elles risquent bien de rendre leur flambeau assez vite, à la manière de Teheiura— pour reprendre les mots de notre co-fondateur Baptiste.
💡 À retenir
Selon une enquête IPSOS réalisée en 2020, 90 % des employés interrogés ont déclaré essentiel (55 %) ou important (35 %) que leur entreprise « donne un sens à leur travail ». Mieux : 85 % d’entre eux jugent essentiel (38 %) ou important (47 %) que leur entreprise leur permette « de se sentir utiles aux autres ». Et que dire de la gen Z, qui ne veut plus de bullshit jobs !
Aujourd’hui, on ne rejoint plus une entreprise, pas plus qu’on achète une marque. On adhère à une cause, on soutient des projets auxquels on s’identifie et qui nous touchent. Une entreprise qui recrute ses talents aléatoirement, en se focalisant sur leurs compétences techniques ? Elle s’expose à un fort turnover.
Le temps des discussions stériles à la machine à café est derrière nous. Dans l’entreprise du futur, les collègues sont des mentors, des acolytes, des coachs qui s’enrichissent mutuellement par leur regard nouveau, leurs compétences et savoir-être, leur expérience… Bref : une entreprise visionnaire a conscience que la cohésion d’équipe et la communication sont des vecteurs de succès.
Chez Pimpant, 100% de nos salarié(e)s sont actionnaires. Autrement dit, ils/elles perçoivent tous et toutes le fruit de leur labeur — et c’est bien normal, puisque sans eux, Pimpant n’existerait pas !
Chez Pimpant, on se lève chaque matin pour construire un monde enthousiasmant pour nos enfants. On leur souhaite de connaître un monde du travail fait de confiance, de liberté et d’enrichissement constant. Un monde qui jetterait aux oubliettes les expressions “grande démission”, “crise de sens” et “burn out”.
Ce monde n’est pas si utopique, et il n’est pas si lointain. Il nous appartient de le créer — chez Pimpant, c’est ce qu’on essaye de faire, en testant de nouvelles choses chaque jour. Ça vous intéresse ? Alors n’hésitez pas à vous inscrire à la newsletter Papapillon. Créée par notre co-fondateur Baptiste, elle s’attaque au futur du travail — et elle n’y va pas de main morte !